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La domination de mon Maitre s'est pour le moment exprimée sous deux aspects majeurs. Je vous ai parlé de la dilatation qu'il exige pour ma chatte de lopette  et  je vous montrerai mes progrès prochainement.

Mais son deuxième plaisir, c'est d'exhiber sa salope dans des lieux publics.

Il m'a ainsi emmenée en pleine journée dans le parking de son immeuble où il a immédiatement exigé que j'enlève ma jupe.

Comme je ne portais pas de culotte, je me suis retrouvée le cul et le clito à la merci des usagers qui pouvaient surgir à n'importe quel moment.

Il m'a fait déambuler ainsi pendant un long moment et je frémissais au moindre bruit de voiture et au moindre claquement de porte.

J'ai pris toutes les positions qu'il m'a demandée de prendre

Mes couilles inutiles emprisonnées dans mon ballstretcher.

Mon cul de tapette soumise bien mis en valeur par mon porte jarretelle et mes bas

Mon clito de lope exposé comme un objet de musée.

Nous sommes ensuite allés dans sa voiture où il m'a demandé de le sucer portes ouvertes alors même qu'une dame allait prendre sa voiture garée à quelques mètres de nous.

J'étais à la fois inquiète et excitée par cette situation scabreuse.

Je n'aurais jamais imaginé pouvoir faire des choses comme ça et j'étais assez fière d'avoir dépassé de nouvelles limites dans ma condition de soumise.

J'ai rencontré mon maitre plusieurs fois chez lui. Il habite dans un immeuble avec un parking public à l'arrière. Il a exigé que je vienne chez lui en femme dès la première fois. Je n'étais jamais sortie en jupe à Nantes en pleine journée alors j'ai un peu contourné sa demande en venant la première fois en jean féminin avec des escarpins pas trop hauts pour ne pas attirer trop l'attention. Car même une vraie femme de plus d1m80 attire forcément les regards. Mais même comme ça je n'en menais pas très large en croisant les gens , surtout que l'immeuble est situé dans un des carrefours les plus fréquentés de la ville.

Mais dès qu'il m'a vue comme ça, il a été très clair: Pas question que je vienne le voir autrement qu'en jupe et sans culotte.

Alors la deuxième fois, je suis venue en jupe de cuir, comme il me l'avait demandé. Mais j'avais encore mes escarpins avec des talons de 3cm ce qui ne lui convenait toujours pas.

Depuis je viens le voir en suivant scrupuleusement ses instructions avec lesquelles je ne risque pas de passer inapercue. Du haut de mes escarpins de 10 cm, je sens les regards des passants qui me dévisagent avec  insistance.

La troisième fois, il m'a même demandé au téléphone de prendre la pose sur le parking pour qu'il puisse me photographier depuis sa terrasse. 

Je n'en menais pas large car le parking ,très fréquenté , est entouré d'immeubles et de commerces. Il m'a demandé de relever ma jupe ce que j'ai fait, découvrant ainsi mes bas et mes cuisses.

Je n'osais pas lever le regard de peur de voir des gens à leur fenêtre observer la scène.

Puis il a demandé que je pose mon téléphone et que je fasse semblant d'ajuster mes bas tout en relevant la tête.Je ne sais pas si quelqu'un a remarqué mon manège mais en tout cas je n'étais pas vraiment à l'aise d'être ainsi la proie des regards

.

Mais je  savais que je devais obéir et qu'une chienne ne doit pas décevoir son Maitre.

C'est donc avec un mélange de honte, de crainte et de fierté que j'ai accompli cette première véritable épreuve.

Je ne savais pas encore que celles qui suivraient seraient encore plus humiliantes...

Mon Maitre m'avait dit qu'il aimerait m'emmener tapiner un soir mais je ne savais pas vraiment s'il passerait un jour à l'acte. Ce soir de septembre, j'ai frémi quand il m'a dit qu'il m'emmenait au bois de Boulogne pour tapiner et m'offrir à des inconnus. Ma tenue était pourtant parfaitement adaptée et je savais que j'attirerais les regards.

Il m'emmena dans un coin peu fréquenté par les professionnelles et me fit sortir  pendant que lui restait dans sa voiture à proximité ce qui me rassura un peu.

Je n'en menais pas large mais en même temps j'étais excitée de pouvoir enfin vivre ce qui avait toujours été un de mes fantasmes.

Après quelques minutes , une voiture s'arrêta et le conducteur me fit signe d'approcher.

Il me demanda mon tarif pour une pipe et il n'en crut pas ses oreilles quand je lui dit que c'était gratuit. Il m'a fait monter près de lui et  j'ai accompli ma tâche comme une bonne vraie pute...

J'étais à peine ressortie que le scénario se reproduisait...Je me suis même retrouvée avec  une file d'attente à la porte d'une voiture dans laquelle plusieurs mâles venait au bois pour se faire soulager...

Pour une première fois, je n'ai vraiment pas chômé et je sais maintenant que la prochaine fois ce sera ma chatte de lope qui sera offerte à mes clients....J'attends avec appréhension mais aussi avec une certaine excitation.