Mercredi 15 janvier 3 15 /01 /Jan 18:07

J'ai toujours été fascinée par les fictions dont le thème est la féminisation forcée. Logiquement, c'est sur des sites anglo saxons qu'on en trouve le plus. Fictionmania.tv:  http://fictionmania.tv/  est l'un des plus riches et des mieux faits.

J'ai décidé de me mettre à adapter en français les histoires qui me le plus marqué.

 

La première raconte les mésaventures d'un garçon qui a eu le malheur de se laisser embrasser en public par la petite amie du caïd du lycée. Attention, c'est plutôt trash!

 

      Le baiser de la mort

(Adaptation de High School Dilemma Lauren Westley)


Première partie


J'aurais dû m’en douter C'était quelque chose de vraiment stupide. Je terminais mes études au Lycée. Je  venais d'avoir mes dix-huit ans et c'était la dernière semaine de lycée. Kelly était probablement la fille la plus jolie à l'école. Ses cheveux étaient longs et blonds, un pu comme les  miens. En réalité nous étions à peu près de la même taille et du même poids car j'étais plutôt petit et frêle pour un garçon de mon âge. Mais, Kelly était la petite amie de Joe. Au moins elle l'avait été pendant les deux dernières années jusqu'à  il y a une semaine.
Joe lui était grand et baraqué. Il avait dix-neuf ans et avait été capitaine de l'équipe de football scolaire. Plus d'1m90 et 100kg avec une bande de copains à éviter à tout prix. On racontait comment il avait battu certains qui s'étaient mis au travers de son chemin. Il était encore à l'origine d'une bagarre le week-end dernier. Son grand frère  avait été l'élève le pire que l’école n’ait jamais connu. Apparemment il avait été en prison après une violente bagarre dans un bar du coin. Pourquoi Kelly est sortie avec Joe était incompréhensible pour tout le monde. Mais comme elle avait dit à la fête scolaire, elle en avait vraiment assez.
A la fête scolaire la semaine dernière nous avions tous un peu bu. Au fil des ans chaque mec avait fantasmé sur Kelly et à la fête, tout le monde voulait danser avec elle. Elle portait une robe à paillettes verte qui mettait en valeur ses formes généreuses et ses yeux noisette, semblables aux miens sauf que les miens étaient un peu plus verts. Sa peau  et ses lèvres pulpeuses semblaient être faites pour embrasser. Elle se tenait près du bar quand l'alcool m'a convaincu de tenter ma chance et de parler avec elle. Moi, le poète de la classe avec mon physique si peu masculin, j'ai osé l'aborder. Elle avait un peu bu et elle m'a souri très gentiment. Il s'est passé peu de temps avant qu'elle se mette à  m'embrasser devant tout le monde. Je ne sais  toujours pas pourquoi elle m'a embrassé mais tout a semblé se dérouler si naturellement. Ses lèvres étaient chaudes et sa langue était délicieusement sucrée.
Mais soudain Joe s'est approché de nous. Il était rouge de colère. Kelly s'est tournée vers lui et lui a dit  qu'elle n'était plus sa petite amie et qu'elle préférait sortir avec moi.
Je suis resté ahuri et  effrayé mais Joe a juste hurlé sur Kelly. Il m'a regardé fixement et férocement et nous a ensuite laissés. J'ai emmené Kelly à la maison  et nous nous sommes embrassés. Le jour suivant à l'école Kelly m'a évité toute la journée et quand nous nous sommes finalement rencontrés elle a dit que je n'étais finalement pas son type et m'a demandé si nous pourrions juste être amis.
J'étais dévasté mais que pouvais-je faire. Je lui ai demandé si elle retournait avec Joe. Elle m'a dit « en aucune façon. Je suis heureuse que ceci soit arrivé. Maintenant je suis débarrassée de lui et je vais pouvoir m'amuser tout l'été et l'année prochaine ».
J'ai regardé Kelly  dans son pull-over rose et sa mini jupe grise et j'ai pensé qu'au moins j'avais eu un moment avec elle.

C'était la semaine dernière et jusqu'à la fin de cette semaine Joe me regardait méchamment chaque fois qu'il me voyait. Je ne me suis pas vraiment inquiété puisque nous vivions  dans des quartiers différents et Joe allait au sport tous les jours  après l'école. Donc je suis parti dès la fin des cours  et suis rentré à la maison. Il y avait seulement une semaine pour aller jusqu’aux vacances d'été. Nous ne nous rencontrerions jamais  plus. Au moins c'était ce que j'ai pensé jusqu'à hier après-midi. Maintenant les choses avaient changé.

J'avais quitté l'école juste après les cours. Portant un jean et des chaussures de tennis, j'ai marché à travers les bois jusqu’à ma maison. Ces bois séparent l'école du côté nord de ville. C'était sur le côté nord que se trouvaient les populations les  plus à l’aise socio-économiquement parlant. Joe et son frère vivaient au sud de l'école. Je n'avais jamais été à cette partie de ville. Apparemment il y avait des bâtiments délabrés et beaucoup de problèmes de délinquance. Ce n’est pas un endroit où j’avais envie d’aller.
Ainsi, j’étais à mi-chemin dans les bois quand soudain  j’ai senti que quelqu'un me bousculait et commença  à me donner des coups de poing au visage, puis à l’estomac et très vite je pleurais de douleur. Quand j'ai levé les yeux j'ai vu Joe, la salive sortant de sa bouche, hurlant que j’étais responsable de sa rupture avec Kelly. J’étais assis et il a hurlé après moi que je ferais mieux de pas de me lever, à moins que je ne veuille vraiment me prendre des coups de pied. Je l'ai vu me regarder et ensuite il m'a appelé « chochotte » parce que je pleurais comme une fille. J'étais sur le point de me lever en disant que je n’étais pas  une chochotte quand il m'a donné un coup de poing de nouveau. Il a dit que j'avais un choix à faire. Je pourrais être la chochotte qu'il savait que j'étais. Alors il a dit que si j’agissais  comme une chochotte, il ne me donnerait pas un coup de poing, mais me giflerait comme il une fille. Ou bien, je devrais me lever et il me battrait comme un mec.
J’avais tellement mal que je suis resté assis là minaudant. Il a ri un peu et m'a ensuite appelé Jill. Mon nom réel est Bill. Il m'a raillé m'appelant  « JILL, JILL, JILL ». Je suis resté assis pensant que je préférerais être traité de chochotte que de me prendre des coups de poing. Je me suis dit que l'École serait bientôt finie et que tout ça serait fini. Alors il a souri et m'a dit que si je ne faisais pas exactement ce qu'il a dit, il me battrait et me pourrirait la vie toute la semaine.

 Donc j’étais toujours  assis là.
"Étends les jambes, tiens les ouvertes et ferme les yeux. Si tu bouges, je te donnerais une fessée tellement forte que tu ne pourras pas t’assoir à l'école demain et tout le monde saura pourquoi," a raillé Joe.
Je me suis mis comme il le voulait et il s'est dressé de manière imposante devant moi. "Souviens toi, ne bouge  pas," a-t-il averti. Et ensuite il a ouvert la fermeture éclair de son pantalon, a retiré son sexe (je ne l'ai pas vu, mais je l'ai senti) et avant que je réalise, il pissait sur mon jean entre mes jambes, trempant mon pantalon  et sous-vêtements. "Je marque mon territoire avec ma pisse et déclare que tu es ma propriété pour toujours."
Comme j'ai commencé à m'éloigner pour éviter sa pisse, il s'est penché et m’a giflé au visage. "Ne bouge pas ou je t’éclate la gueule". Je suis resté assis sans bouger, comme ci je lui donnais la permission de se vider la vessie sur moi. J’étais humilié. Quand il a fini, il a secoué sa queue et quelques gouttelettes d’urine m’ont éclaboussé le nez et l’œil. Il a ri.
 "Comme punition toute la semaine, tu porteras une culotte que tu prendras à ta sœur. Il vaudrait mieux pour toi qu’elle soit en satin. Sinon, c’est la fessée, compris?"
D'une voix chevrotante j'ai répondu « Oui. »
Il paraissait content de lui et a regardé la tâche sombre que j’avais entre les jambes et a ri.

Il m'a ensuite laissé là. Après que j'ai été sûr de son départ, je me suis levé. Son urine sentait fort et je rentrais à la maison honteux, tenant ma main devant mes organes génitaux trempés par sa pisse. J'ai réussi à rentrer à la maison puis dans ma chambre sans que personne ne me voie.  Mais j'ai dû laver mon jean et mon slip pour enlever son urine. J’avais l’impression que je pourrais sentir encore cette odeur toute la nuit même si elle était partie. Par peur des représailles, je suis allé dans la chambre de ma sœur et j’ai trouvé une culotte de satin blanc. Jane avait deux ans de plus que  moi mais nous étions de la même taille. Elle m’empruntait même parfois mes tennis.
J'ai mis la culotte le lendemain matin et je suis descendu prendre mon petit-déjeuner. J'étais nerveux. J'avais l’impression que tout le monde se rendrait compte que je portais une culotte de fille. Heureusement, Jane était partie pendant 8 semaines. Elle était directrice d’un  camp dans la Caroline du Nord et était partie une semaine plus tôt pour tout installer avant l’arrivée des enfants qui viendraient la semaine prochaine.

Jane est très féminine et elle s’habille très sexy. Quand j'ai cherché la culotte, j'ai été stupéfié de voir que c’était la seule blanche. Elle avait toutes sortes de culottes et de strings tous plus sexys les uns que les autres.
Maman et Papa étaient assis à la table de petit-déjeuner quand je suis descendu. Papa a commencé la conversation. "Bill, ce week-end, avec Maman nous allons  partir deux semaines faire une croisière dans les caraïbes. Je l'ai convaincue que tu saurais t’occuper de toi et que tu aurais un comportement  responsable. On t’appellera quand nous serons dans un port. Tu pourras laisser un message sur le répondeur pour nous dire que tout va bien

Maman m'a souri et a demandé si je serais ok. J'ai oublié le port de la culotte et leur ai dit de passer un bon moment et que tout irait bien pour moi. Maman m'a aussi dit qu'elle avait appelé le M. Weingold qui tient le magasin d'alimentation local et l’avait informé que je serais seul et qu’il  pourrait facturer les courses que je ferais au magasin d'alimentation. "Aussi, Sid (M. Weingold) a dit qu'il viendrait voir si tout va bien  la semaine prochaine. Il va pêcher pendant quelques jours et appellera ou s'arrêtera en passant quand il revient," a dit la Maman.
M. Weingold était un plouc gras. Il n’avait  jamais été agréable avec moi, mais mes parents pensaient le contraire. Papa se demandait parfois pourquoi il n’était pas marié à 48 ans. Moi je savais  pourquoi : Qui épouserait un plouc gras et sale de 100kg qui regardait les jeunes garçons d’une manière très bizarre?
Je leur ai assuré que tout irait bien et je suis allé à l'école.
Ainsi, ici j'étais assis dans la classe avec la culotte de satin sur mon cul et Joe me surveillant. Cependant la journée s’est  passée sans incident jusqu'à ce que j’aille à mon casier en fin de journée. Il y avait un mot à l'intérieur. Je l'ai ouvert. Il écrivait que je devrais porter la culotte le lendemain et raser tous les poils  de mon corps à part un petit patch au dessus de mon sexe sinon je serais battu demain. Il y avait une photo d'une fille rasée à part un patch au dessus de sa chatte. Il avait écrit  directement sur l'image avec une flèche indiquant COMME CECI.
À la maison, j'ai pensé qu’il était préférable de faire ce que Joe voulait plutôt qu’être battu. En plus aujourd’hui, il ne m'avait pas même dérangé. Peut-être que je passerais la semaine sans problème. Ainsi, j'ai rasé mon corps et j’ai laissé le petit patch au-dessus de mon pénis. En le faisant, je me suis demandé de quelle taille mon pénis était comparé à Joe.

Je ne l’avais pas vu quand il m’avait pissé dessus puisque j’avais les yeux fermés.

Le mien fait 10 cm quand il est dur et il n’est pas très épais non plus. Je n'avais jamais vu celui  d’un autre car j’avais toujours évité toutes les choses qui exigeraient des douches de groupe. J'ai pensé que le sien était plus petit car on dit toujours que les grands costauds ont de petites quéquettes. Et cela m'a fait me sentir mieux comme je me séchais.
Le lendemain matin au petit-déjeuner mes parents m'ont dit qu'ils mettraient tout ce dont j’aurais besoin dans le réfrigérateur et dans le tiroir à côté. Ils partiraient samedi matin tôt. De nouveau j'ai assuré à maman que tout serait ok et suis allé à l'école portant la culotte de ma sœur et entièrement rasé. J'ai mis une chemise à manches longues  et  l'ai gardé boutonnée. Joe m'a regardé et a souri. Mais de nouveau la journée s’est passée sans incident sauf quand je suis arrivé à mon casier. De nouveau il y avait un mot. Cette fois je devais trouver une paire de collants de ma sœur et les porter mercredi avec la culotte au-dessous.
Ca ne me dérangeait pas puisque ça m’évitait d’être battu et personne ne savait  ce qui arrivait. Il était facile de se soumettre. Le jour suivant j'ai été assis dans la classe, rasé, avec ma culotte en satin et mes collants. Le slip soyeux me faisait me tordre parfois et je devenais presque dur mais je n’y pouvais rien. Un autre billet me disait de  prendre un bain agréable avec le bain moussant de ma sœur et de porter un morceau  de ruban adhésif sur chacun de mes mamelons.
J'ai réussi et jeudi soir, j’ai pensé qu’il me restait seulement un jour avant la fin des cours et de ma soumission à Joe. Il restait mes dernières instructions dans le casier avec  une petite boîte. Il écrivait que je devais ouvrir la boîte cette nuit et porter tout ce qui était dans la boîte pour vendredi. Si je le faisais, il y aurait seulement une dernière chose.

Cette nuit à la maison j'ai ouvert la petite boîte et y ai vu un objet bizarre qui était nommé plug sur la notice. J'ai été choqué. Une petite note de Joe m’ordonnait de  "LE METTRE MAINTENANT!" J'avais obéi pendant la semaine, il restait seulement un jour mais c’était si humiliant quand je l'ai poussé pour le faire entrer dans mon cul avant d’aller me coucher.
Le lendemain matin au petit-déjeuner, mes parents me donnèrent des instructions de dernière minute mais j’étais très mal à l’aise et  mes joues étaient rouges. Maman a demandé si j'étais malade. Je n'ai pas répondu et je me suis dépêché de partir à l'école, sentant le mouvement  du plug dans mon cul à chacun de mes pas.
J'ai été assis dans la classe en me tordant un peu et Joe m'a regardé et a souri. En fin de journée, je suis allé à mon casier et Il y avait encore une enveloppe. C’était écrit que je ne devais l’ouvrir que rentré à la maison. Je me suis précipité  à la maison en pensant que c'était fini et que Joe me donnerait simplement une note, riant de ce qu'il m'avait fait faire. Je me suis précipité dans ma chambre et me suis assis. Je n'ai pas même enlevé le plug  parce que j'ai voulu lire la note d'abord.
Elle disait, "ton acte  final d'humiliation arrivera demain. À 10h, tu me retrouves au  même endroit  que la semaine dernière dans les bois. Tu devras porter un soutien-gorge et un parfum et tout ce que tu as porté cette semaine. OU BIEN." J'ai eu peur en lisant  mais de nouveau j'ai pensé que je pourrais tenir  un jour, même s'il me pissait dessus de nouveau. Après je serais tranquille  à la maison loin de Joe pour toujours.
Samedi matin Maman a ouvert la porte de ma chambre  et a dit, "au revoir Bill,. Est-ce que tu es toujours malade ? N’hésite pas à appeler le docteur Jones si tu as besoin. Le numéro est sur le réfrigérateur." Je lui ai dit de passer un bon moment, de ne pas s’inquiéter. Elle a quitté la  chambre. J'ai regardé mon horloge : il était 7h00.
A 9:30 j'étais assis dans la cuisine avec le plug dans mon cul. La culotte en satin et les collants et un soutien-gorge blanc de coton couvrant l’adhésif sur mes mamelons. Vingt minutes plus tard j'ai mis le parfum. Quelque chose appelé « Opium » et je suis parti affronter mon destin. J'ai pensé en marchant jusqu’aux  bois que dans une heure je serais à la maison et que ce serait fini.

Quand je suis arrivé au point de rendez vous, Joe était là. Il a dit, "bonjour Jill, tout est ok ?" J'ai souri avec douceur et incliné la tête pour dire oui.
"Bien ma chérie, maintenant enlève ce qui cache ce que je t’ai demandé. Dis-moi ce que tu portes comme pour un défilé de mode. Parle-moi du parfum etc. et à quoi a ressemblé ta semaine.
Je lui ai demandé si j'avais vraiment à le faire et il m’a giflé durement et a exigé, "OUI".
Comme mon visage me piquait, j'ai enlevé mon jean et ma chemise et suis resté debout tout en lui parlant de la semaine que j’avais passée. Quand j'ai terminé, il m'a dit d'enlever les collants. Après que je les ai enlevés, il m'a demandé de me tourner et de me pencher pour qu’il puisse sentir si je portais le plug  et que je devrais faire paraître ma voix aussi féminine que possible. Comme  j'avais chanté le soprano dans le chœur scolaire et que ma voix n'avait pas vraiment muée encore, j'ai pu me soumettre.
Je me suis donc tourné, en soutien-gorge et culotte de fille sur ma peau rasée. Il a frotté mon cul pour sentir le plug (j'ai senti mon pénis se durcir un peu à ce moment là sans comprendre  pourquoi). Il m’a donné une claque sur le cul et m'a demandé quel parfum je portais et j'ai dit de ma voix la plus féminine, "je porte le parfum Opium."
"Il sent très bon et est très féminin," a-t-il dit. "Montre-moi maintenant comment tu as  rasé ton pubis et explique ce que tu as fait."
J'ai tiré mon slip vers le bas pour lui montrer le patch de poils pubiens que j’avais laissé en expliquant comment je me suis rasé. J’avais une  voix de fausset qui ressemblait à celle d’une  jeune fille. Comme j’étais debout là avec ma culotte ouverte dans la brise fraîche, ma petite queue durcit un peu plus. Il a souri et a ri.
Il a pris mon jean et ma chemise et les a éparpillés à 10 m de distance. "Et maintenant pour le  final. Pour que jamais, jamais, tu n'essaies de me prendre une fille, je veux que tu ouvres la fermeture éclair de mon jean et que tu sortes ma queue." Comme j'ai commencé à protester, il m'a giflé de nouveau et a dit qu'il prendrait mes vêtements et me laisserait ici en sous vêtements de fille. Il a ajouté que je devais lui parler en sortant son sexe, encore mieux, je devais le prier de jouir sur mon petit « clito. » J’étais pris au piège. J'étais sur le point de dire quelque chose mais il m'a giflé de nouveau. J'ai pensé que ce serait fini bientôt si je faisais ce qu’il disait. Au moins je ne devais pas le sucer ou quoi que ce soit.

Comme j'ai ouvert la fermeture éclair de son pantalon,  il m'a demandé de tenir mon slip ouvert et de le masturber de l'autre main. En sortant son sexe j'ai compris que je m’étais trompé. Au repos, il était déjà plus grand et plus gros que le mien en érection. Je n'en croyais pas mes yeux.
"Une vraie beauté n'est pas ?"
Je l'ai tenu dans ma main, honteux, et il a commencé à grandir. Je me suis demandé de quelle taille il serait une fois dur. Comme s'il pouvait m'entendre penser, il a dit, "20 cm par 5 cm."

Tenant sa queue et la caressant, j'ai réalisé qu’elle grandissait encore. Tout en le masturbant, je lui ai dit qu’elle était  belle et que je l’aimerais bien dans ma culotte. Il a souri.
Il a peloté mon cul et a joué avec le plug en me traitant de salope. Son sexe est devenu énorme. Il a commencé à grogner et je savais qu'il allait bientôt jouir. J'ai baissé les yeux quand il a frappé mon visage avec sa queue

La première décharge a été jusqu’à mon nez et a dégouliné  finalement dans mon slip. J'ai poussé sa queue vers le bas pour qu’il finisse d’éjaculer dans mon slip mouillant mon 'clito' avec sa queue. En réalité il a carrément couvert mon petit pénis avec son sperme et une flaque s’est formée entre mon pubis et la culotte. Il a gémi un peu plus et a fini d’éjaculer.
J'ai laissé ma culotte se refermer écrasant son sperme épais contre mes boules et il a chuchoté dans mon oreille que  je devais lui  nettoyer la queue et le remercier ensuite en faisant une révérence.
Puisque c’était presque fini, j'ai fait ce qu'il a dit et me suis penché pour lécher  les dernières gouttes sur son gland.
Et ensuite j’ai fait une révérence en disant, "merci Joe pour ton sperme dans mon slip."
J'ai demandé si c’était fini et il a dit oui, mais après une dernière chose ce sera parfait. Alors il a frotté sa main sur mon slip trempé de sperme et m'a dit de jouir pour mélanger mon sperme avec le sien pour "être unis dans cette épreuve."
Incroyablement mon petit sexe s'est durci et sous peu j'ai déchargé dans mon slip déjà trempé.
En soupirant, j'ai demandé, "puis-je  m’en aller maintenant ?" (J'utilisais toujours la voix féminine.)
J'ai entendu Joe appeler, "il est temps de sortir, Sean."
Sean est sorti portant une caméra vidéo. Embarrassé j'ai essayé de me tourner mais Joe a saisi mon bras et m'a dit de rester immobile. Alors Sean m'a montré le film entier. Rien de ce que Joe avait dit n'a été filmé. On voyait seulement sa poitrine et  en dessous. Mais tout que j'ai fait était très visible avec comme point  culminant le moment où je masturbais Joe pour le faire éjaculer  dans mon slip.. J'ai commencé à pleurer.
Joe mit son bras autour de moi et a doucement dit, "Arrête de pleurer Jill. Tu sais que Kelly m'a quitté la semaine dernière. Il est impossible que je puisse avoir une autre fille pour  l'été. Ainsi Sean et moi avons pensé que tu ferais parfaitement ' Ma Fille D'été '. Tu vois, j’aime jouir  2 ou 3 fois par jour et Kelly s’occupait parfaitement de ça. Je suis sûr que tu y arriveras très bien toi aussi.

Il a pris mes vêtements et m'a dit de les mettre et qu’ils m’accompagneraient à  la maison. J'ai dit que je pourrais rentrer à la maison tout seul. Il m'a giflé et a dit, "Tu veux une fessée ? Rappelle-toi que tu dois juste dire oui à mes demandes.  Agis comme une bonne fille et tout ira bien. Autrement je publierai ce film sur Internet et l'enverrai par courrier électronique à l'école entière et enverrai une copie à ton université. Mets tes vêtements et nous t’accompagnerons à la maison. Je veux savoir exactement où tu vis pour te trouver quand j’ai besoin de toi."
J'ai mis mon jean et ma chemise et j’ai marché avec eux. Le sperme faisait un bruit de ventouse à l'intérieur de mon slip quand je marchais et Joe s'est assuré que je continue à parler comme une fille de quel effet ça faisait et combien j’aimais cette sensation et comment j’attendais avec impatience ses trois ou quatre décharges par jour. Sean a juste ri comme nous marchions  à travers bois jusqu’à chez moi. Ils ont été stupéfiés quand nous sommes arrivés. La maison était sur une parcelle de plus d’un hectare et nous ne pouvions même pas voir nos voisins. Le lot à côté du nôtre était vide et le lot suivant  était toujours en construction. L'autre côté de la maison donnait sur  les bois et les marécages. "Merde", dit Sean, "C’est bien mieux que chez nous. On voit comment  vivent  les riches."
Quand nous sommes arrivés à la porte de la cuisine, j’ai dit au revoir quand Sean a dit qu'il avait besoin d’aller uriner. Je lui ai montré les toilettes. Joe attendait debout dans la cuisine. Je suis revenu dans la cuisine et j’ai vu Joe lire la note sur le réfrigérateur. Je suis devenu pâle quand  il a dit, "Seul pendant deux semaines. Hmmmm." Comme je commençais  à protester, Sean est revenu dans la cuisine et Joe lui a expliqué la note.
"Enlève ton  jean et ta chemise" a dit Joe.
"Non, s'il vous plaît," dis-je oubliant ma voix féminine.
"Maintenant tu vas avoir une fessée pour répondre en n’utilisant pas la voix juste. ENLEVE-LES MAINTENANT. MAINTENANT!" Il m'a giflé si dur que je suis tombé contre le réfrigérateur et j’ai atterri sur le carrelage. Le sperme a suinté dans ma chute.

"Eh bien," a dit Sean, "Nous allons juste rester ici les deux prochaines semaines donc tu ferais mieux de t’y faire si tu veux rester en vie." J’ai compris alors que je ne pourrais rien faire contre eux.

A suivre....

 

Par carlatg44 - Publié dans : soumission - Communauté : Salope travestie soumise
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Commentaires

Bonjour Carla,

Comment vas-tu ?

Tu prends beaucoup de temps pour traduire ces histoires. Je peux en déduire qu'elles te plaisent beaucoup ?

J'aimerais que tu nous écrivent si tu aimerais et serais prète à vivre cela ?

Je t'embrasse

commentaire n° :1 posté par : MaitreDeSoie le: 25/01/2014 à 01h29

encore c'est hyper excitant tu en as dautre histoire comme ça?

commentaire n° :2 posté par : meulon le: 05/09/2015 à 17h44

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